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L’Iran du bout de mon pinceau, au-delà des clichés et idées reçues

A travers les extraits de son carnet, Philippe Bichon souhaite partager son voyage de 5 semaines en solitaire dans le centre du Pays en été 2008.
Jour après jour les pages se remplissent de croquis, aquarelles, récit et témoignages écrit de la main des personnes rencontrées, dans leur langue persane. Plus qu’un journal, le carnet devient un lien, un moyen d’échange avec les gens croisés sur la route. L’ensemble est réalisé sur le vif, couleur comprise, sur des cahiers de dessin que l’auteur fait relier à la fin du voyage.
La spontanéité de ses croquis, aquarelles, récit et témoignages de la main des personnes rencontrées, nous transporte aussitôt sur les pas du Globecroqueur.
L’exposition, en complément du diaporama numérique musical présenté au festival, mêle extraits du carnet et photographies. Vous pourrez feuilleter le carnet original et vous faire dédicacer le carnet publié, dans une édition très fidèle au carnet original. Ce carnet d’Iran est également présenté sous forme d’un calendrier 2010.
« Au-delà des gouvernements en place, mes voyages ont toujours été la recherche de rencontre humaine et partage culturel. Si mon humble témoignage peut adoucir les inégalités de ce monde et ouvrir les esprits, alors j’en serais heureux. »

Philippe Bichon : Bio du globecroqueur
Philippe Bichon se définit comme un globecroqueur car il aime découvrir le monde un crayon à la main. Au fur à mesure de ses errances solitaires, le journal de route se remplit de croquis et aquarelles réalisés sur le vif, comme le récit, et non retouchés par la suite. Celui-ci devient une œuvre collective puisque les personnes rencontrées laissent un témoignage écrit dans leur langue, et y dessinent même parfois. Plus qu’un journal, le carnet devient ainsi un lien, un moyen d’échange avec les gens croisés sur la route.
Un calendrier réalisé pour sa famille et amis sera le déclic. Encouragé par les uns et les autres, le palois publie ses carnets et participe à plusieurs festivals, salons et expositions. La démarche originale plaît ; une petite collection de carnets atypiques prend forme. Dans une édition très fidèle au carnet original, Philippe partage son récit «brut de voyage». La spontanéité de ses croquis, aquarelles, récit et témoignages écrits en différents alphabets de la main des personnes rencontrées, transporte aussitôt le lecteur sur ses pas, une occasion de voir le monde autrement. Devant l’enthousiasme croissant du public, il a décidé de quitter son travail en agence d’architecture du patrimoine pour se consacrer entièrement à ses carnets de voyages.
Après l’Egypte, l’Inde, l’Iran, le Ladakh, son nouveau carnet nous emmène à la découverte du Yémen.